Tel(le) est pris(e).. part 2

il y a 3 ans

Nous nous voyions depuis quelques semaines maintenant. L’épisode de la clé semblait oublié, du moins pour elle. J’avais pris soin de créer des fausses pistes, comme acheter une ceinture de chasteté pour elle. A-t-elle pensé que j’en perdrais la clé, je n’en sus rien mais c’eut été trop facile, une vengeance sans imagination, sans surprise. Je n’en parlais pas, elle semblait moins sur ses gardes, le bon moment arrivait… La vengeance est un plat qui se mange froid ! Nous passions le week end ensemble, et depuis vendredi soir, je ne l’ai pas honoré. Je l’ai chauffée, plusieurs fois, lui ai donné quelques orgasmes, mais suis resté sagement (hum…) habillé, excepté lors des couchers où je glissais nu dans le lit pour lui faire un câlin alors qu’elle était attachée et en nuisette légère à mes côtés, avant de dormir. Pendant deux soirs, elle sentit mon attribut contre ses fesses, bougeait son bassin pour le faire grossir, modifiait sa position pour tenter de le faire entrer en elle, sans succès. Je prenais même un certain plaisir à lui souhaiter une bonne nuit en l’embrassant sur le front, un acte plus amical qu’amoureux. Au matin, le même manège s’instaurait, mais je restais de marbre. Ce dimanche, après notre petit déjeuner, le cérémonial de la douche fut le même : elle devait me laver, puis m’habiller, avant de passer à sa personne, se laver sous mes yeux puis enfiler la tenue que j’avais sélectionnée. En fétichiste de lingerie, j’avais jeté mon dévolu sur une parure 2 pièces bleue d’une célèbre marque, ainsi que des escarpins noirs. La journée passa rapidement, entre amusements, dressage, séances perverses, mais toujours pas de phallus à l’horizon. Alors qu’elle était à terre telle une chienne aux pieds de son Maître assis confortablement dans son canapé faisant mine de se délecter d’un reportage inintéressant comme certaines chaînes sont capables de nous proposer, elle tenta une approche, l’ennui et l’envie aidant. Sa main commença à me caresser la jambe puis remonta petit à petit vers la zone défendue. Showtime ! Je l’encourageai alors en lui caressant à mon tour sa tête. Elle prit ce signal comme une autorisation implicite de poursuivre et d’aller plus loin, mais je bloquai sa main. Je commençai à caresser son corps, à l’embrasser puis dégrafai son soutien-gorge pour libérer et offrir sa poitrine à ma vue et à mes mains. Petit préliminaire vanille qui dura un moment jusqu’à mon ordre de se mettre en position, celle que j’affectionne : à 4 pattes sur la table basse. Elle fut d’une rapidité étonnante, à mon grand amusement. Elle baissa sa culotte pour m’offrir l’accès à ses orifices puis ouvrit la bouche et attendit ainsi. Je me levai de mon canapé, lentement, tournai autour de la table, claquai ses fesses, jouai avec mes doigts sur son corps, son état d’excitation était au paroxysme. Je me présentai debout, devant sa bouche avant de déboutonner mon pantalon, et baisser les vêtements qu’elle m’avait enfilé le matin même, mon sexe apparut alors, cerné de la fameuse cage de chasteté. Je vis dans ses yeux la surprise totale, un moment d’hésitation, d’incrédulité, puis un peu de peur : elle avait compris que la vengeance arrivait. La règle fut simple : après un simulacre de fellation, je lui posai un collier puis une laisse que j’avais cachés dans le salon, lui insérai un rosebud à queue de renard dans son fondement et lui expliquai : « Visiblement, en bonne petite chienne, tu aimerais que je te prenne, mais comme tu peux le voir, techniquement, je ne peux pas. J’ai dissimulé la clé dans cette pièce, si tu veux que je t’honore, il va falloir la trouver. Allez, cherche !! » Elle comprit de suite le jeu : la chienne renifleuse qui doit trouver quelque chose pour obtenir sa récompense. Elle chercha pendant un long moment, à 4 pattes, moi à ses côtés la tenant en laisse. Elle répondait à mes ordres tels « assis », « couché », et j’en profitai aussi pour sortir la gamelle afin qu’elle puisse laper un peu d’eau, mais elle ne trouvait toujours pas la clé du bonheur. Au bout de plus d’une heure de recherches minutieuses, elle finit par tomber dessus. Elle devait me la donner dans la main après l’avoir attrapée dans sa gueule. Toute contente, elle se remit expressément en position sur la table basse sur mon ordre, attendant enfin sa récompense. Je lui caressai la tête, félicitant ma bonne petite chienne, lui donnant un petit gâteau en acompte, qu’elle dévora avec plaisir, les yeux luisants, le poil brillant, les tétons fièrement pointés. Je me remis devant elle, me défroquai puis insérai la clé dans la petite serrure sous ses yeux avides. Mais celle-ci ne rentrai pas. J’avais beau essayer, rien n’y fit. Au bout d’un moment, alors qu’elle avait elle-même essayé, il fallait se rendre à l’évidence : la clé ne fonctionnait pas. Elle rigola de cette situation, deux affamés désireux de s’accoupler, punis par un jeu de vengeance… Je pris sur moi, et décidai de sortir mon gode ceinture. Sa surprise fut totale : elle n’avait jamais connu cette situation totalement grotesque : un dom affublé d’un gode ceinture car privé de son phallus par une cage de chasteté récalcitrante. La soirée se termina. Elle devait rentrer chez elle pour débuter une nouvelle semaine de travail. Elle regroupa ses affaires, enfila des habits décents après validation, remplit sa petite valise rapidement puis se dirigea vers la porte d’entrée. Je la serrai fort contre moi puis la laissai regagner sa voiture. 2 minutes plus tard, je lui envoyai une vidéo que je venais de réaliser. On y voyait sa voiture partir, la porte d’entrée se refermer, le téléphone se diriger vers un coin du séjour, ma main plonger dans un endroit improbable, en sortir une clé qui libéra mon sexe de sa cage. Je finis ma vidéo avec un petit mot doux : « bonne semaine ma chérie » tout en me masturbant.

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